Le témoignage d’un lecteur d’Asud

Depuis 28 ans je me droguais à l’héroïne, l’alcool, le tabac. Je passe sur une vingtaine de cures, autant à l’hôpital que sauvages. Je prenais du Skenan® à des doses dépassant le gramme. Il y a 4 ans que je cherchai à trouver une plante du nom de Tabernanthe Iboga…

J’ai essayé de voir des psys qui ne m’ont été absolument d’aucune aide, ils ne connaissent rien à cette plante et ne voulaient pas faire d’essai clinique. J’ai donc dû partir au cœur du Gabon où l’ on m’a donné l’iboga… et suis rentré chez moi à Angers… J’ai absorbé cette plante à 1h00 le 10 octobre 2002.

Au bout de 36 heures, je revenais à moi (pas de syndrome de manque, peut-être 10%) et 12 heures après ces 36 heures, j’étais sur pieds. Je passe les visions paradisiaques, la joie, les amis décédés que j’ai eu la très grande chance de rencontrer! Voilà, j’ai arrêté de fumer, de boire, de me camer. Cela fait 6 jours, et pour l’instant je n’ai plus aucun symptôme de manque. J’espère que ce témoignage en aidera d’autres à s’en sortir…

Commentaires (8)

  • Salut.

    Je suis en plaine recherche de témoignage sur l’iboga et comment bien la prendre car je vais bientôt recevoir 3g de d’iboga TA, extrait d’alcaloïde, afin de stopper mon traitement et dépendance à la méthadone.
    J’ai déjà pas mal lu sur le sujet, suis parfaitement conscient de ces risques etc, ,ce que je recherche surtout ce sont des témoignages de ce qu’il convient de prendre comme précaution pendant le trip. Je ne serai pas seul, enfin je serai accompagné mais seul à prendre l’iboga et ce uniquement dans le but de stopper ma dépendance.
    Merci d’avance.
    Bye! :)

    • bonjour , si vous êtes sur face book et que vous comprenez l’anglais vous pouvez aller voir la page de DIMITRI ‘MOBENGO’ MUGIANIS.

      Dimitri est un activiste américain issu de l’autosupport et la santé communautaire, qui fait depuis de longues années un travail de promotion de l’iboga, tout en étant très militant pour la défense des droits de l’Homme dans le contexte de la guerre à la drogue pour le droit au libre choix des consommation de psychotropes.

  • Bonjour,
    Ce témoignage est très intéressant mais je regrette qu’il ne concerne que les premiers jours après votre absorption d’Iboga. Je suis moi aussi confronté à la dépendance à l’héroïne depuis huit ans maintenant. Parcours classique je crois, mais je ne suis pas encore arrivé à l’acceptation et à l’abandon de moi-même. Mais la panique commence à s’installer et j’ai beau essayer, pas moyen de m’arrêter…
    L’Iboga m’a été présenté par un docteur en chimie plutôt connu et très crédible. Je suis en phase d’information, je me renseigne avant de prendre une décision et ce qui me parait le lus précieux pour prendre une décision, ce sont les témoignages que je pourrais lire.
    Alors, si vous pouvez reprendre la plume (ou le clavier) pour nous raconter la suite de votre expérience avec l?iboga, vous rendriez service, je ne pense pas qu’à moi, cela enrichira mes réflexions et m’aidera à décider.
    D’avance Merci
    Wil

    • bonjour a vous ,tres etonné de m apercevoir que je n ai en fait pas fait le tour de tout ce qui a un effet quelquonque sur le cerveaux et ses petit neurones ,je me suis atarder sur l explication de cette plante et surprise !!!!! il y aurait donc peut etre un chemin autre que cette putain de métha qui m empoisone la vie dpuis l arret de la camme !un ami a moi ancien toxico m avait conseillé de faire des séances d hypnose ,sur lui qui est apparement tres receptif ca a marcher et j avoue que j lui tire mon chapeaux maintenant quatre ans d abstinance .pour le coup je vais me lancer a la recherche d info sur cette plante en esperant recolter des temoignage qui me laisseront croire que ca marche , apres c comme tout ca passe la haut dans le cerveaux ,et si justement l iboga peut amené a un etat de conscience qui pourait me responssabilisé par rapport a l hero et la métha , je suis prenneur , voila au plaisir et good vibes a tous L IBOGA ON I CROIS

      • Merci Sylvain,

        de plus en plus je me dit que cette histoire de méthadone mériterait une étude « longitudinale » comme ils disent qui permettrait d’étudier le parcours d’une centaine de personnes ayant décroché de la métha comment, avec quels supports chimiques et surtout de les suivre sur au moins 4 ans pour connaitre les éventuelles rechutes le degré d’alcoolémie , le support cannabis, les cachetons etc… etc.. De plus en plus je suis inquiet du faible nombre d’expériences réussies de sevrage suivis d’une abstinence de plusieurs années pour les méthadoniens, même faiblement dosés. Si l’iboga ou l’ayahuasqua sont des pistes il faudrait pouvoir l ‘étudier aussi scientifiquement…
        Merci de continuer à laisser des témoignages pour celles et ceux qui ont utilisé ce moyen là.

        • plantefree@yahoo.com

          Des témoignages de maman koudi sont confirmé tel le site psychoactif etc
          Elle a plus de 40 ans d’âges et initie avec les pygmées,elle même initié par des pygmées qui sont à l’origine du Bwiti
          Elle initie véritablement pendant 03 jours et soignent aussî des drogues dures en donnant la bonne dose,les témoignages le disent
          Elle ne fait pas dans le folklore,ainsi que son entourage,pas de sommes exorbitantes,comme certains sont à 3000 ou 1000 euro,elle 500 euro plus le retour avec le bois sacré
          Dans sa vieillesse veux transmettre son savoir
          Moi même j’ai été satisfait de mon décrochage à l’héroïne,suis très heureux et pu reconquérir ma femme

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

© 2020 A.S.U.D. Tous droits réservés.

Inscrivez-vous à notre newsletter